Dove:
Harnack Haus, Berlin, Deutschland
http://www.harnackhaus-berlin.mpg.de/
Quando:
5-8 febbraio 2009
Arrivo giovedì sera e partenza domenica.
Tema:
I differenti approcci teorici e metodologici applicabili nella
stesura della tesi di dottorato.
Risale a settembre, ma pubblichiamo solo ora sul blog l'articolo che la "Présidente" dell'EHESS, Danièle Hervieu-Léger, ha scritto in ricordo di Yan Thomas. Erudizione, intelligenza, apertura mentale, gusto per la comunicazione e senso dell'amicizia sono, ancora una volta, i tratti della sua personalità che emergono con forza. Questo articolo però ci riguarda ancora più da vicino perché propone di proiettare quel fortissimo legame che il Prof. Thomas aveva instaurato con il Dottorato Europeo, di cui era stato l'ideatore, verso il futuro, attraverso la creazione di una cattedra in "Culture giuridiche europee": la cattedra Yan Thomas.
Editorial par Danièle Hervieu-Léger (Présidente de l'EHESS):
Notre collègue Yan Thomas était entré à l'hôpital le 10 septembre. Son décès, le 11 septembre, nous a tous bouleversés, et nous commençons seulement à mesurer le vide que sa disparition laisse au sein de notre communauté. Nous connaissions sa personnalité flamboyante, la clarté de sa parole, sa passion inquiète pour la connaissance conquise sur toutes les facilités de pensée, son étonnante érudition, sa pugnacité intellectuelle. Nous l'aimions pour son goût de la communication et de l'échange, de la controverse aussi. Nous savions sa fidélité en amitié.
Yan Thomas était de ceux pour qui la rigueur attachée à l'exercice du métier de chercheur relève de l'engagement moral et politique, autant qu'intellectuel. La précision du raisonnement, le refus des évidences spontanées, la méticulosité attachée au démontage des procédures les plus concrètes afin de rendre visible, à travers elles, le façonnement des sociétés par le droit : ces exigences du travail d'élucidation qu'il poursuivait inlassablement - entre l'Antiquité et les enjeux les plus contemporains du droit - étaient bien plus pour lui que des impératifs de méthode: elles étaient un principe de vie. Et c'est cette règle de vie qu'il entendait transmettre, autant que son immense savoir, à ses étudiants.
Ceux-ci venaient de toute l'Europe pour entrer, à sa suite, dans l'intelligence de l'histoire comparée des cultures juridiques, en apprenant à travailler, à raisonner et à débattre dans plusieurs langues. Le doctorat européen qu'il a créé et qu'il a porté à bout de bras pendant toutes ces dernières années, est devenu une référence à l'échelle du continent. Continuer à faire vivre cette entreprise qu'il a inspirée et portée avec une immense générosité est le premier des hommages que nous lui devons.
C'est pourquoi il nous apparaît urgent de mettre en œuvre dès maintenant un projet que nous avions esquissé avec lui, il y a très peu de temps: celui de créer à l'École une chaire « Cultures juridiques européennes », dont le titulaire changerait tous les ans et qui permettrait de renforcer encore le caractère résolument international de cette formation doctorale. La création de cette chaire est devenue aujourd'hui une nécessité pour l'avenir du doctorat et un devoir de fidélité pour nous. Ce projet sera présenté à nos instances dans les prochaines semaines et soumis à notre Assemblée avant la fin de l'année. En même temps que la proposition de donner à cette chaire le nom de Yan Thomas.
Il testo, disponibile online all'indirizzo http://actualites.ehess.fr/nouvelle3094.html, è stato pubblicato anche come editoriale nel numero di ottobre de "La lettre de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales" (n° 20, octobre 2008), consultabile anch'essa online: http://actualites.ehess.fr/lettres/lettre.html
Yan Thomas è morto a Parigi nella notte fra il 10 e l’11 settembre. Da qualche tempo era afflitto da problemi di salute, dei quali soffriva con compostezza, lamentandosi semmai qualche volta soltanto perché la fatica fisica gli impediva di dedicarsi agli studi come avrebbe voluto.
Negli ultimi anni, oltre alla sofferenza fisica, anche un impegno amministrativo gli aveva sottratto tempo per concludere i libri che aveva già nel cassetto da anni. Dirigeva infatti un dottorato sulle Culture giuridiche europee che raccoglieva intorno all’Ecole des Hautes Etudes di Parigi istituzioni importanti di quattro Paesi europei, e si occupava della formazione dottorale di giovani provenienti da ben dodici nazioni diverse, impegnati in una sorta di “grand tour” che in tre anni li porterà a vivere in tre grandi nazioni europee.
Come ogni anno, avrebbe dovuto lavorare con i suoi dottorandi durante una settimana di studi a Roma, e soltanto all’ultimo momento aveva dovuto cancellare la sua partecipazione per sottoporsi a Parigi all’operazione chirurgica che non è riuscito a superare.
I suoi amici e i suoi allievi, riuniti a Roma, hanno dunque ricevuto insieme la terribile notizia: la morte di Yan Thomas ci toglie per sempre uno studioso di eccezionale acutezza, ma anche un amico e un maestro insostituibile.
Yan era un uomo appassionato dei suoi studi, certo, ma anche delle persone – studenti o colleghi – che lavoravano con lui. Questa passione profondamente umana, questa curiosità per l’intelligenza altrui gli conferivano una personalità magnetica, dalla quale sono rimasti affascinati moltissimi di quelli che lo hanno conosciuto.
Intorno a lui si verificava così il miracolo di riportare la storia del diritto al centro degli interessi di tante discipline diverse e lontane fra loro nell’accademia. Grazie ai suoi scritti e ai suoi seminari, giuristi e teorici del diritto; filosofi e sociologi; antropologi e storici scoprivano che il diritto e la sua storia sono protagonisti a pieno titolo della civiltà occidentale. Yan ha saputo rompere l’isolamento nel quale la storia del diritto ha vissuto per decenni, ha saputo uscire da quell’”hortus conclusus” di cui discutevano, mezzo secolo fa, i maestri dei nostri maestri. L’orto di Yan non è mai stato chiuso: fecondato da mille semi diversi vedeva crescere piante ibride, ma originali, resistenti, belle.
Ci restano i suoi articoli, i libri che ha pubblicato e quelli che aveva consegnato agli editori e che speriamo di leggere presto. Ci resta l’entusiasmo che ci ha comunicato e il coraggio di tentare strade nuove della ricerca. Ma per sempre abbiamo perso il suo sguardo penetrante, le sue espressioni perfettamente tagliate, la sua ironia, la sua passione. Yan ci mancherà. Ci mancherà irrimediabilmente.
Emanuele Conte, 15 settembre 2008
Yan Thomas, le grand juriste, spécialiste de droit romain et directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales qui, depuis quelques décennies renouvelait l’approche du droit, est mort. Il ne s’est pourtant pas éteint à la suite d’une longue maladie qui nous eût laissé le temps de nous préparer. Il nous a été brutalement arraché par un accident postopératoire, alors qu’il se préparait à rassembler ses articles dans des ouvrages qui lui eussent enfin acquis une notoriété publique à la mesure de l’importance de son œuvre.
Car celle-ci est aujourd’hui dispersée dans des revues spécialisées où sont parues des séries d’articles qui sont autant de chefs-d’œuvre de style et de science, qui ont su trouver une très large audience dans un public savant fort varié, allant de l’histoire du droit à la philosophie, en passant par l’anthropologie et les sciences politiques.
Depuis quelques années, une rumeur se faisait de plus en plus insistante : un immense spécialiste de droit romain était en train non seulement de renouveler entièrement l’approche du droit, en la remettant au cœur des interrogations anthropologiques les plus fondamentales (qu’est-ce que naître ? qu’est-ce que mourir ? qu’est-ce qu’hériter ? qu’est-ce qu’une chose ?), mais encore de bouleverser l’image des sciences humaines dans leur ensemble, offrant peut-être une solution à ce qui semble être leur crise contemporaine. Tristesse des générations sans maître, disait Gilles Deleuze. Mais il faut aussi savoir chercher ses maîtres.
Yan Thomas était un maître, et d’autant plus qu’il ne le voulait pas. Maître réticent, contrarié, humoriste, défiant, mais maître authentique. L’œuvre de Yan Thomas se caractérise par une unique alliance de la fantaisie et de la rigueur. Il mit l’esprit de géométrie le plus intraitable, les qualités de précision et de clarté les plus évidentes, la sévérité dans l’érudition la plus hyperbolique (il eût sacrifié sa vie à l’exactitude d’une référence dans une note en bas de page), au service d’un étrange théâtre où son imagination et son audace théorique se plaisaient à camper les situations les mieux à même de susciter notre stupeur poétique ou métaphysique.
Il nous apprit que ces créatures sèches et discrètes que sont les normes juridiques peuvent, si l’on sait s’y prendre, dévoiler les plus grands mystères, aider à résoudre les énigmes les plus obscures. Ainsi, à travers l’analyse qu’il faisait de la manière dont les Romains avaient organisé le droit des tombeaux, Yan Thomas amenait son lecteur à changer profondément ses représentations du temps et de la mort.
Révélant, à travers ses études sur le droit romain de la famille, que celui-ci s’était constitué d’une manière parfaitement indépendante de toute idée de nature (au point d’autoriser que l’on adopte plus vieux que soi, que l’on naisse d’un mort, etc.), il montrait que nous pouvions nous sentir libres d’inventer aujourd’hui des formes de sociabilité et de parenté entièrement nouvelles. Mais dans le même temps, il nous fit comprendre que le droit, que nos contemporains regardent comme un outil assujetti à notre volonté politique ou morale, a en réalité une logique propre, une vie qui nous échappe, et que non seulement nous ne créons pas notre droit, mais que c’est lui qui nous crée.
Yan Thomas savait montrer que les idées que nous nous faisons de la paternité, de la nature des choses, des personnes, du temps, du corps, ont été bien souvent mises en place dans d’obscures dispositions du droit de l’Antiquité. Loin donc de n’être que censure, frein ou épée menaçante, le droit est bâtisseur et organisateur de la trame anthropologique dans laquelle nous vivons.
Cette puissance, Yan Thomas nous montra que le droit la devait à ce qu’il a à faire à cet élément qui est l’objet de prédilection des sciences humaines : le pouvoir. Mais, au lieu de s’épuiser à traquer cette gorgone dans les regards, les mots, les structures économiques ou les théories médicales, comme le firent des générations de chercheurs, il suggéra de se pencher sur les règles de procédure pénale, sur les techniques judiciaires d’extraction des aveux, sur les règles de représentation privée, bref, sur ce monde bien visible que nous avons l’habitude de considérer comme une superstructure ou un faux-semblant.
L’œuvre de Yan Thomas non seulement a jeté un regard neuf sur le droit, redonnant tout son intérêt à cette discipline souvent perçue comme ingrate, mais il ouvre des perspectives tout à fait nouvelles sur l’ensemble des sciences humaines, dont la portée ne cessera, j’en suis sûr, de s’imposer dans les années à venir. On comprend qu’une disparition si brusque ne saurait être paisible. Comment peut-on se résigner à ce qu’un tel esprit cesse aussi brutalement de poser son regard sur le monde ? Comment peut-on accepter que cette pensée qui n’avait nullement fini de se déployer soit soudain abattue ?
Certes, il nous reste son œuvre, cette œuvre qu’il faut désormais publier. Je veux croire qu’ainsi il sera un peu moins mort et personne ne m’enlèvera cette idée farfelue de la tête. Comment se consoler autrement de la perte d’un esprit au sommet de sa puissance ? Nous qui avons connu et aimé Yan Thomas dans sa personne savons tout ce que nous perdons avec lui. Mais un auteur est un peu comme le roi tel que le décrit Kantorowic dans les Deux Corps du roi (ce livre qu’il aimait tant), et une partie de lui est à l’épreuve de la mort. Les générations à venir devront se contenter de cette part, qui continuera, j’en suis certaine, à agir sur leurs esprits avec la même puissance d’éveil qu’il a exercé sur le nôtre.
On n’a pas fini de lire Yan Thomas.
Directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, Yan Thomas est mort le 11 septembre, à l'âge de 65 ans, d'un accident post-opératoire.
Né le 9 février 1943 à Alger, il avait d'abord été magistrat, puis attaché culturel en Inde, avant de devenir professeur agrégé d'histoire du droit à l'Université de Rouen, après avoir soutenu une thèse de doctorat consacrée à la notion de cause en droit romain. C'est à cette dernière discipline qu'il s'est alors consacré. Il avait vité été reconnu internationalement comme l'un des plus savants spécialistes du monde romain. Mais son travail est allé bien au-delà d'une connaissance intime et érudite d'une source antique et médiévale du droit occidental, même si son activité de recherche, notamment à l'Ecole française de Rome, a permis de découvrir des textes majeurs du corpus de droit romain.
Aussi bien dans ses ouvrages et ses très nombreux articles qu'au sein de ses séminaires de l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), où il a été élu en 1989, il frappait lecteurs ou auditeurs par la profondeur historique, anthropologique, philosophique et politique des interprétations qu'il dégageait de ces textes. Grande était son aptitude à les mettre au service de la compréhension de la pensée juridique contemporaine et à répondre aux questionnements juridiques, mais aussi politiques et moraux d'aujourd'hui.
Yan Thomas s'est refusé à prendre position sur des contenus de politique normative, comme c'est trop souvent le cas chez les juristes (faut-il être pour ou contre l'avortement, l'euthanasie, le mariage homosexuel ?, etc.). Son oeuvre s'affirme avant tout comme une méthode d'analyse des textes et des discours, permettant de mieux comprendre quelles sont les formes mentales spécifiques du raisonnement et de la pensée juridique.
Yan Thomas était intimement convaincu qu'il existe une culture spécifiquement juridique, une façon particulière du juriste d'agir sur le monde en le traduisant dans les catégories propres du droit, ou plus exactement en construisant un monde juridique composé d'éléments conceptuels fictionnels élaborés par l'art du droit.
Dans un dialogue constant avec d'autres disciplines comme l'anthropologie, la sociologie, la philosophie politique et morale, il a ainsi éclairé des sujets aussi divers que la filiation, la cité, la souveraineté, la dignité, l'aveu, etc. Au sein du Centre d'étude des normes juridiques de l'EHESS, dont il a été le fondateur et le directeur, cette rencontre entre le droit et les autres sciences sociales s'est fortement actualisée. Elle a ainsi donné naissance à une communauté sans cesse croissante de chercheurs français et étrangers convaincus de l'extrême fécondité d'une démarche intellectuelle qui, dans la personne de Yan Thomas, s'associait à un "style" éminemment séduisant, où le brio et la qualité de l'expression, l'exigence intellectuelle, la passion enthousiaste le disputaient à la modestie, à l'écoute d'autrui, à l'amour pour la controverse, à la gentillesse.
C'est d'ailleurs à la formation d'une telle communauté qu'il s'est plus particulièrement attaché ces dernières années, en consacrant ses efforts à la création et à la direction d'une très rare formation doctorale européenne en histoire, philosophie, anthropologie et sociologie du droit, qui permet à des étudiants provenant de tous les continents d'apprendre à construire leur pensée dans la confrontation à des intellectuels issus de cultures juridiques différentes.
École des Hautes Études en Sciences Sociales – Paris
Max-Planck-Institut für europäische Rechtsgeschichte – Frankfurt am Main
London School of Economics – London
Istituto Italiano di Scienze Umane – Firenze
Dottorato Europeo in Storia, Sociologia, Antropologia e Filosofia delle Culture Giuridiche Europee
Finanziato dall’Unione Europea nel quadro dell’azione Marie Curie, programma “Early Stage Training” (6° programma quadro)
Seconda settimana di Studi Dottorali
MARTEDI’ 9 SETTEMBRE
9,30 - Pierre Thevenin, Formes, sources et fonctions de la référence à la possession dans la construction philosophique de l'image du droit à l'âge classique - coordina e discute il
11,30 - Carolina Vergel, Le rôle de la justice pendant la guerre: un premier regard à partir des mobilisations et usages du droit des femmes victimes en Colombie - coordina e discute il Prof. Paolo Napoli
15,30 - Sebastian Provvidente, Factum hereticale, representatio et ordo iuris dans le procès contre Jan Hus - Concile de Constance (1414-1418) - coordina e discute il Prof. Julien Thery
MERCOLEDI’ 10 SETTEMBRE
9,30 - Stefanie Günthner, Recht sprechen. Urteile schreiben - coordina e discute il Prof. Clemens Pornschlegel
11,30 - Florian Schmidt-Gabain, Zweckartikel und Gesetzgebung - coordina e discute il Prof. Rainer Maria Kiesow
15,30 - Stefania Gialdroni, La East India Company come corporation e il "tasto dolente" della responsabilità limitata - coordina e discute il Prof. Carlos Petit
GIOVEDI’ 11 SETTEMBRE
9,30 - Silvia Falconieri, La costruzione del "diritto razzista". Una lettura dei decreti antiebraici attraverso le riviste giuridiche (1938-1944), coordina e discute il Prof. Guido Neppi Modona
11,30 - Francesca Ferrari, L'evoluzione del rischio nella storia del contratto di assicurazione, coordina e discute Prof. Paolo Cappellini
15,30 - Pablo Aviles, Les collections et leur propriété à la veille de la Révolution française, coordina e discute il Prof. Patricia Falguieres
VENERDI’ 12 SETTEMBRE
9,30 - Rodrigo Miguez, Le proiezione dell'Indigenismo giuridico sulla proprietà collettiva, coordina e discute il Prof. Tristan Platt
SABATO 13 E DOMENICA 14 SETTEMBRE
Visita alle biblioteche e alla città
LUNEDI’ 15 SETTEMBRE
9,30 - Eliardo Teles, Les parties et le tout: la relation des procureurs de la République à l'institution, coordina e discute il Prof. Alfonso Celotto
11,30 - Marianne Saracco, La vulnérabilité des institutions pénales internationales, coordina e discute la Prof. Flavia Lattanzi
15,30 - Magda Schusterova, Spaetmittelalterliche Friedensvertraege und ihre Bestimmungen ueber die kuenftige Streitbeilegung- arbitri und iudices handelnde simpliciter et de plano sine figura et strepitu iudicii, coordina e discute il Prof. Randall Lesaffer
MARTEDI’ 16 SETTEMBRE
9,30 - Tzung-Mou Wu, "Personne" en droit civil français : 1804-1914, coordina e discute il Prof. Jan Schröder ; discute la prof. Florence Bellivier
11,30 - Charles De Froment2, Dualisme du marché du travail, crise du droit du travail et travail temporaire en France et en Allemagne depuis les débuts de la crise économique, coordina e discute il Prof. Jerome Gautie
15,30 - Hent Kalmo, Hierarchy Reinterpreted: What Is the Meaning of "Higher"?, coordina e discute il Prof. Olivier Cayla
MERCOLEDI’ 17 SETTEMBRE
9,30 - Wim Decock, Lessius on buying and selling, coordina e discute il Prof. James Gordley
12:00 CONFERENZA DOTTORALE Prof. Maurice Godelier, Les rapports politico-religieux aux fondements des sociétés humaines. Ce que nous apprend l'anthropologie
-Buffet
"Formes, sources et fonctions de la référence à la possession dans la construction philosophique de l'image du droit à l'âge classique".
"Le rôle de la justice pendant la guerre: un premier regard à partir des mobilisations et usages du droit des femmes victimes en Colombie".
Sebastian PROVVIDENTE
"Representatio, factum hereticale et ordo iuris dans le procès contre Jan Hus - Concile de Constance (1414-1418)".
Mercoledì 10 settembre:
Stefanie GUENTHNER
« Recht sprechen. Urteile schreiben ».
Florian SCHMIDT-GABAIN
« Zweckartikel und Gesetzgebung ».
Stefania GIALDRONI
« La East India Company come corporation e il "tasto dolente" della responsabilità limitata »
Giovedì 11 settembre:
Silvia FALCONIERI
"La costruzione del "diritto razzista". Una lettura dei decreti antiebraici attraverso le riviste giuridiche (1938-1944)".
Francesca FERRARI
nella storia del contratto di assicurazione"
Pablo AVILES
« Les collections et leur propriété à la veille de la Révolution française ».
Venerdì 12 settembre:
Rodrigo MIGUEZ
« Le proiezione dell'Indigenismo giuridico
Tristan PLATT"Les parties et le tout: la relation des Procureurs de la République à l'institution".
"La vulnérabilité des institutions pénales internationales".
Magda SCHUSTEROVA
Spaetmittelalterliche Friedensvertraege und ihre Bestimmungen ueber die kuenftige Streitbeilegung- arbitri und iudices handelnde simpliciter et de plano sine figura et strepitu iudicii.
Tzung-Mou WU
"Personne" en droit civil français : 1804-1914.
Charles DE FROMENT
"Dualisme du marché du travail, crise du droit du travail et travail temporaire en France et en Allemagne depuis les débuts de la crise économique".
Hent KALMO
"Hierarchy Reinterpreted: What Is the Meaning
Professeur : Olivier CAYLAConferenza Dottorale
Maurice GODELIER
Au fondement des sociétés humaines.
Ce que l'anthropologie peut apprendre aux juristes.Wim DECOCK
'Lessius on buying and selling'.
Le blog du « Doctorat européen en histoire, sociologie, anthropologie et philosophie des cultures juridiques européennes », programme Marie-Curie Early Stage Training de la Commission Européenne. Institutions partenaires : Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, Paris / Istituto Italiano di Scienze Umane, Firenze / London School of Economics, London / Max-Planck Institut für Europaïsche Rechtsgeschichte, Frankfurt am Main.